et le diaporama.
Tempête sur une tasse de thé
mardi 16 septembre 2014
jeudi 3 avril 2014
Etude du mouvement de 4 particules
M. Krivine nous a fourni ces données : le R² moyen de 49 particules et le R² de 4 particules prises isolément :
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMRHJBQ3RZTVFhRVk/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMRHJBQ3RZTVFhRVk/edit?usp=sharing
jeudi 13 mars 2014
Un algorithme pour simuler le mouvement brownien
Nous avons réalisé cet algorithme avec Algobox :
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMc3FXazg1UVNsY2s/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMc3FXazg1UVNsY2s/edit?usp=sharing
Une vidéo
Mise en évidence du mouvement brownien à la surface du lait :
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMOXJzY194VW1pQ1k/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B6XR3ezuFcAMOXJzY194VW1pQ1k/edit?usp=sharing
jeudi 20 février 2014
Le mouvement Brownien en physique
Aucune particule n’est inerte.
Tous les atomes, toutes les molécules, s’agitent sans cesse. Cette agitation
est directement liée à la température du milieu de ces dernières, l’agitation
influant sur la température et vice versa. Aussi, lorsque des globules de
graisse, par exemple, sont plongés dans un milieu liquide aqueux, comme c’est
le cas pour l’expérience 2, ils sont sans cesse « frappés » par les
molécules d’eau en mouvement autour d’eux. De ces collisions, il résulte un
mouvement des globules, qui dépend de l’énergie cinétique des molécules d’eau
et de la direction dans laquelle ils sont « frappés ». Ce mouvement,
à l’aspect chaotique, est appelé le mouvement brownien.
Explication de l’expérience n°1
Tout d’abord, il est essentiel de dire qu’à température T
constante, les quantités de mouvement de deux gaz sont égales. L’énergie cinétique
est donnée par la formule E = ½m.v² .
Dans le cas du gaz roux et du dioxygène, la masse du gaz roux et plus importante
que celle du dioxygène. On peut donc en déduire d’après la formule de l’énergie
cinétique que la vitesse du dioxygène sera plus importante que la vitesse du
gaz roux.
Donc, lors de la première expérience qui a été faite, on
peut imaginer que le dioxygène est passé dans le récipient du gaz roux plus
rapidement que ce dernier est passé dans le récipient de dioxygène. Et, par
effet d’entraînement dû peut être à la pression, une partie du gaz roux passe
dans l’autre récipient. Ce phénomène s’appelle la diffusion, qui est une
tendance de la matière à se propager dans tous l’espace qui le contient, de
manière à avoir une concentration des espèces chimiques homogène. Ce phénomène
de diffusion répond aux lois de Fick et pourrait être un facteur important dans
le calcul du mouvement Brownien.
Critique de l’hypothèse n°2
Après réflexion, nous
avons pu constater des incohérences dans notre deuxième hypothèse. En effet, si
l’interaction de Van Der Waals existe réellement au niveau atomique, à
l’échelle de nos « minuscules boules de graisse » son action est
quasi inexistante. De plus, cette interaction a lieu dans le cas de molécules
polaires. Ces molécule sont formées d’au moins deux atomes dont l’un est
électronégatif, comme le chlore, c'est-à-dire qu’il attire davantage les
électrons, et un atome électropositif, comme l’hydrogène, qui attire moins les
électrons : les électrons de la liaison covalente Cl-H seront davantage
vers le Cl, qui sera plutôt négatif, et inversement pour l’H. Or, cette
polarité aura tendance à orienter toutes les molécules vers la même direction
et assurer la cohésion de celle-ci, à l’inverse de ce que l’on a pu observer
lors des expériences.
L’interaction de Van Der Waals n’est donc pas la cause
de ce phénomène.
Inscription à :
Articles (Atom)