Après réflexion, nous
avons pu constater des incohérences dans notre deuxième hypothèse. En effet, si
l’interaction de Van Der Waals existe réellement au niveau atomique, à
l’échelle de nos « minuscules boules de graisse » son action est
quasi inexistante. De plus, cette interaction a lieu dans le cas de molécules
polaires. Ces molécule sont formées d’au moins deux atomes dont l’un est
électronégatif, comme le chlore, c'est-à-dire qu’il attire davantage les
électrons, et un atome électropositif, comme l’hydrogène, qui attire moins les
électrons : les électrons de la liaison covalente Cl-H seront davantage
vers le Cl, qui sera plutôt négatif, et inversement pour l’H. Or, cette
polarité aura tendance à orienter toutes les molécules vers la même direction
et assurer la cohésion de celle-ci, à l’inverse de ce que l’on a pu observer
lors des expériences.
L’interaction de Van Der Waals n’est donc pas la cause
de ce phénomène.
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